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Le Bois de Verrières, cet ami qui nous veut du bien !

  • Photo du rédacteur: trebulleupv2026
    trebulleupv2026
  • il y a 15 minutes
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La publication d’un dossier sur la forêt de Verrières dans le magazine municipal de novembre a suscité quelques réactions négatives d’associations ou de groupes d’opposants, réussissant à faire de cet espace si beau et agréable de notre commune un objet d’acrimonie et de règlement de comptes. Quel dommage !

 

C’est assez incroyable de toujours vouloir nous prêter de (très) mauvaises intentions, même avec un sujet aussi positif et précieux que le Bois de Verrières que nous avons toujours eu à cœur de protéger et d’accompagner.

 

Nous soutenons le projet de classement en forêt de protection, sommes engagés dans la convention tripartite pour co-financer l’accueil du public, dans la relance du Comité forêt, le travail avec le SDIS (pompiers) pour faire face aux nouveaux risques incendie, la coopération Police/ONF pour améliorer la sécurité de tous. Nous sommes parties prenantes de l’élaboration du schéma d’accueil du public.

 

Nous avons la chance d’avoir de riches échanges et partages avec des partenaires tant scientifiques que techniques, économiques ou culturels : l’ONF bien sûr, mais aussi l’INRAE, la Fédération des communes forestières (FNCOFOR), la ligue de Protection des Oiseaux (LPO), Fredon, etc.

 

Nous n’avons jamais voulu faire du Bois de Verrières un objet politique mais bien un sujet consensuel, partagé et engagé, au-delà des clivages partisans.

Le courage ce n’est pas de crier et de critiquer sans cesse, mais de dire le pourquoi de ses positions, y compris à contretemps en résistant à la démagogie. Un exemple ? arrêter de vendre du bois, c’est priver l’ONF de ressources qu’il faudra compenser par de nouveaux impôts. Ce qui ne veut pas dire que les coupes ne doivent pas être contrôlées !

 

Peut-être qu’il faudrait toujours se livrer à une communication médiatique permanente sur la moindre action menée sur le bois pour ne pas être taxé d’inaction. Les élus et les agents remontent ainsi régulièrement à l’ONF (ou à la Police nationale) ce qu’ils observent ou qui leur est transmis par des habitants ou les associations (état des équipements, dépôts sauvages, comportements illégaux…).

 

Alors oui, certains crient, râlent, signent des pétitions, critiquent toute action… et pensent ainsi aider à préserver la forêt… D’autres comme les élus et services municipaux agissent, travaillent, échangent, partagent leurs positions… bref font avancer les choses au-delà des débats stériles.

Alors oui, la forêt est une amie qui nous veut du bien. Elle n’a pas de voix et il est important de se rappeler que personne n’a le monopole de la défense de son intérêt. ONF, associations, collectivités : nous avons tous à la faire entendre… Certains choisissent le vacarme, la critique systématique, le conflit d’autres privilégient une recherche d’harmonie, la coopération… à chacun d’assumer ses choix.


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